Pas facile d’accepter les raisons de ce « repos forcé », souvent une MAP (menace d’accouchement prématuré) synonyme de stress pour les futurs parents. On se pose mille questions, on culpabilise, on a peur. Oui, c’est injuste. Oui, on a le droit d’être en colère. On pleure. Et on se ressaisit. Pour le bien de notre futur bébé, pour le nôtre et celui du papa ! Il va falloir tenir le coup plusieurs semaines, alors autant s’y faire.
Il va falloir aussi faire comprendre le concept de l’alitement à l’entourage : non, ce n’est pas « je suis à la cool, je dors toute la journée et ça m’éclate » mais plutôt : « je souffre, je prends plein de médocs et je suis super angoissée ». Va falloir être pédagogue ;-)
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